SARTHE
FOSSILES
Le PALEOZOIQUE débute avec le CAMBRIEN avec 53 M.a. , et se caractérise avec le développement d’une faune de TRILOBITES.
PALEOZOIQUE
par André Gobenceaux
A.P.V.M. 1980
Pourquoi ?
Bien avant de résider à Sillé-le-Guillaume, j’ai pendant près de 15 ans habité, une commune située dans le bocage mayennais, dans le Nord-est en limite du département de la Sarthe. Cette commune, géographiquement limitrophe aux terroirs du Massif de Pail, des Alpes Mancelles, du Massif Silléen, adossée aux Coëvrons, eux-mêmes prolongés par la Grande Charnie.
Devenu par passion, « chasseur de fossiles », dès 1940 j’ai parcouru ces terroirs, dans de nombreux sens, seul, puis accompagné par mon épouse. Appuyé par ma formation universitaire en géologie, j’ai privilégié la recherche dans les terrains mouvementés de cette bordure, extrémité Orientale du tèrs ancien , et très très érodé Massif Armoricain.
Ignorant délibérément les « fronts de taille » des carrières oubliées, abandonnées ou en activité au profit des synclinaux, des émergences et des affleurements beaucoup plus fiables. J’ai réfutés et proscrit l’uilisation du pic, de la pioche, de la barre à mine, et même du marteau et du burin.
Équipé de mon chapeau de brousse, pour me protéger des ardeurs du soleil, des inconvénients de la pluie, musette en bandoulière pour y placer « mes trouvailles », loupe pendue par une cordelette à mon cou, je n’utilise qu’un marteau de géologue, un pinceau et une brosse à poils court.
HAUT - en août 1940, bloc de SCHISTE ARDOISIER englobant deux ammonites pyritées, trouvées dans les ardoisières de Saint Georges-le-Gautier ( 72 ),
BAS en setembre 1942 autre bloc découvert dans les ardoisières de Saint Germzain-de-Coulamer ( 53 )
C’est deux pièces ont été l’embryon de la création d’une petite collection privée, d’une destinée universitaire en géologie, et de la création d’une modeste Lithothèque personnelle - A.G.
SCHISTE NOIR
Vertébre et fragment de côte d’un Hichthyosaurus.
LITHOTHEQUE
avec André Gobenceaux
A.P.V.M. 1980
Une lithothèque n’est pas, et ne sera jamais un musée. C’est complètement différent , voir diamétralement opposé. Une lithothèque n’est pas étalage et encore moins un déballage de fossiles, de pièces rocheuses hétéroclites venus d’ailleurs.
Une lithothèque est un lieu où sont sélectionnés, non par la quantité, mais plus exactement par la qualité, et les caractéristiques des échantillons de roches, des spécimens minéraux, des pièces fossilisées et silicifiées. C’est avant tout, un endroit de culture et sciences, respectent scrupuleusement les règles de Membres de l’Association de Paléontologie de Villers-sur-Mer depuis 1981.
Notes
* - Fossilisation
s. f. - phonétique : fo-si-li-za-si-on - radical : fossiliser - Ensemble des processus qui conduisent à la conservation des objets dans divers sédiments. Processus naturel, concernant le remplacement intégral, et à l’identique des éléments organiques d’un être mort, par des éléments minéraux,
Fossile
Adjectif - phonétique : fo-si-le - du latin : fossilis signifiant extrait de la terre ; de fossum, pour fodsum de fore précisant : fouir, qui se rapporte à la racine sanskrit : budh définissant : creuser.
* - Géologie
s. f. - phonétique : jé-o-lo-jî - du grec : gé signifiant : terre, et logos précisant : discours - Science qui a pour but la connaissance des éléments qui composent le globe terrestre, de leur nature, de leur situation relative et des causes qui ont déterminé cette situation. La géologie nous explique également les transformations diverses dont la terre a été l’objet.
* -Lithothèque
n. f. - lith (o)- lith (e)- nom formé du grec : litho signifiant pierre ; et de téké précisant boite - armoire - lieu où sont rangés dans un certain ordre des collections de pierres ( minéraux - cristaux - fossiles - etc. ).
* - Minéralogie
n. f. - de l’anglais minéral, qui se rapporte aux corps inorganiques.
* - Paléontologie
s. f. - phonétique : pa-lé-on-to-lo-j - du préfixe grec : paléo signifiant : ancien , dérivant du grec : palaios même sens ; et du grec : ôn = être ; logos = discours .
Partie des Sciences Naturelles des fossiles, des êtres organisés aujourd’hui disparus de la surface de la terre.
Goutte d’ambre, et moustique prisonnier -
Région de explorée,
Géologie Nord-est Mayenne, est commune à celle du Nord-ouest de la Sarthe.( Massif de Pail, pour la Mayenne ; Île de Perseigne, Alpes Mancelles, Massif Silléen, pour la Sarthe ; Coëvrons et Charnie en commun ).
La région concernée, est placée à l’extrémité Est - Orientale, du très vieux Massif Armoricain, formé de schistes gréseux, et de quelques carbonates. La géologie de la partie Nord-ouest et Ouest de la Sarthe, qui côtoie à la partie Nord-est et Est du département de la Mayenne, appartient à l’extrémité de la frange Orientale du Massif Armoricain. Assez largement représentés dans l’Ouest de notre département, les affleurements du Cambrien sont formés de schistes plus ou moins gréseux. Fortement plissée, cette succession de petites collines constituent un paysage d’ondulations bocagères, incisées de dépressions où s’échancrent les petites vallées du Merdereau, la Vaudelle l’Orthe, et l’Erve, pour celles que nous avons le plus fréquentées. Cette région qui s’allonge Nord-Sud des Alpes Mancelles, à La Charnie, a connu au cours des quelques centaines de millions des dernières années, un incessant ballet de tectoniques des plaques, qui a marqué la séparation du Massif de Perseigne, du Massif continental d’Ecouves, faisant de Perseigne, une véritable « île » isolée dans les mers du Mésozoïque et du Crétacé, la formation de l’arc, constituant le « golfe d’Alençon, et la Alpes Mancelles ». Complètement émergée, la plaque Armoricaine subit de plein fouet l’importante érosion continentale. Lors de la formation du « flysch briovérien », entre -585 et - 540 M.a. ; la formation détritique essentiellement constituée de « grès » qui procédé à mla constitution du relief précité Massif de Perseigne - Alpes Mancelles - Massif Silléen - Coëvrons - La Charnie ; et de schistes Saint-Georges-le Gaultier - Saint-Germaine-de-Coulamer - Parennes et quelques autres, atteignant par endroits plusieurs milliers de mètres d’épaisseur.
Autre coin de la Lithothèque de A.G. - Pièces en instance d’identification.
PALEOZOÏQUE
( Ère Primaire )
de 541,o +/- 1,0 à 252,2 +/- 0,5 M.a.
n. m. - a été défini par J. PHILLIPS en 1818, du préfixe grec : palaeo - paléo - palaios signifiant ancien - 1ère orthographe utilisée dans les mots latin ou latinisés, et les mots de vieux français et du grec ; zôon précisant animal.
Le Paléozoïque se subdivise en six périodes,
CAMBRIEN
de -541,oo +/-1,0 à485,4 +/-1,9 M.a.
n. m. - a été défini par A. SEDGWICK en 1835 - de Cambria, nom latin du Pays de Galles - Angleterre.
ORDOVICIEN
de 485,4 +/-1,9 M.a. à 443,4+/-1,5 M.a.
n. m. - a été défini par Ch. LAPWORTH en 1879 , dérive de Ordovices, anciennes tribus gauloises occupant le Pays de Galles - Angleterre.
SILURIEN
de 443,4+/-1,5 à 419,2 +/-3,2 M.a.
n. m. - a été défini par R. I. MUTCHINON en 1835, en référence à une ancienne peuplade : les Silures en Pays de Galles.
DEVONIEN
de 419,2 +/-3,2 à 358,9 +/- 0,4 M.a.
n. m. - a été défini par A. SEDGWICK ET R.-I. MURCHINSON en 1839, en référence au DEVONSHIRE.
CARBONIFERE
de 358,9 +/- 0,4 à 298,9 +/-0,2 M.a.
n. m. - a été défini par W. D. CONYBEARE en 1882 - du latin : cargo- onis signifiant charbon, et ferre précisant porter par les terrains ( correspondants sont fréquemment riches en houille
PERMIEN
de 298,9 +/-0,2 à 252,2 +/-0,5 M.a
n. m. - a été défini par R. I. MURCHISON en1841 - de Perm en Russie ; en anglais : Permian - dernière période du Paléozoïque.
SOL SARTHOIS
sa formation,
ses fossiles témoignent
Bien que le Cambrien sarthois, soit très épais de plusieurs milliers de mètres et couvre environ 20.000 hectares, s’étendant dans le Massif insulaire de Perseigne, et se prolongeant dans la refief au Nord et au Sud d Sillé-le-Guillaume, en concordance avec les strates du Silrurien ; caractérisés par des PHYLLADES.
Traces et fossiles découverts en Sarthe plus de 500 M.a. ; dans le Massif Silléen.
PHYLLADES - ROCHE METAMORPHIQUE se débitant par tablettes.
SCOLITHES dans le MASSIF SILLEEN - Concrétions massives d’épaisseur variable, constituées en colonnes ( comme ci-dess ), de largeur millimétriques. .
Les terrains sédimentaires se développent avec des SCHISTES ARGILEUX. Ponctués de bancs de GRAUWACKE, marqués par des filons de QUARTZ.
GRAUWACKE - ARENITE, terme général désignant toius les GRES - GRES GROSSIER - ROCHE GRANULAIRE composée de minéraux silicatés.
Le SILURIEN , couvre approximativement ; hectares dans l’Ouest du département Les grès Armoricain, présent dans le département de la Sarthe plusieurs strates dont la plus Septentrionale dans le Massif de Perseigne culmine à =340 m. Les plus anciens fossiles que nous avons découverts, sont datés du Cmabrien, et du Silurien -570 M.a. 6 Ils ont été découverts d’affleurements et dans des plissements du terrain, dans la région d’Assé-le-Boisne. Sil’ASAPHUS a été rencontré sur Saint-Léonard-des-Bois , les SCOLITHES et les LINGULES, c’est dans le Massif Silléen, qu’il est possible d’en trouver.
C’est dans ces masses schisteuses, que l’on a découvert les premières traces de vie organisée dans le Sarthe : les LINGULES, dans la région d’ASSE-le-BOISNE.
La paléogéographie de la Sarthe n’a pas fondamentalement beaucoup changée par rapport aux précédentes périodes. Les transgressions marines se sont déroulées sous des tranches d’eaux marines peu profondes, et des terres aux reliefs peu saillants. Les rivages voient apparaître les premiers végétaux accompagnés des premiers SCORPIONS et les premiers CRINOIDES.
C’est dans ces masses schisteuses, que l’on a découvert les premières traces de vie organisée dans le Sarthe : les LINGULES, dans la région d’ASSE-le-BOISNE.
LINGULA LESEUERI a été défini par DAVIDSON & GILLIER en 1881.
embranchement : Brachiopodes
classe : Inarticlés
ordre : Atrémates
familles : Linguilidae
TIGE d'ENCRINES, incrustée dans la ROCHE.
embranchement : Echinodermes
classe : Crinoïdes
ordre : Isocrinoïdes
familles : Encrinidés
embranchement : Cnidaires
classe : Anthozoaires
ordre : Tabulés
familles : Favositidae
embranchement : Echinodermes
classe : Crinoides
ordre : Monbathrides
familles : Sciohocrines
PTERYGOTUS ANGLICUS a été défini par AGASSIZ en 1849.
embranchement : Merostomes
classe : Eurypteridae
ordre : Giganstrodaces
famille : Pterygotidae
EURYPTERUS LACUSTRIS a été défini par DE KAY en 1825.
embranchement : Artropodes
classe : Merostomes
ordre : Eurepterides
famille : Eurepteridae
Qui forme principalement le Nord-ouest et l’Ouest du département, représente l’étage SILURIEN, il est connu pour ses GRES et ses SCHISTE ROUGE, au-dessus de SCHISTES à CALYMENE.
Le GRES ARMORICAIN correspond souvent dans notre région au GRES à SCOLITHES ou GRES /GNEISS à BILOBITES.
Le trilobites ASAPHUS ARMORICANUS ont été trouvés dans les trates d’ardoises supérieurs aux SCHISTES à CALYMENES.
C’est ainsi, que l’on trouve aux confins Nord-est du département de laMayenne, et Nord-ouest de celui de la Sarthe, géographiquement sur le rebord Oriental du : « Massif de Pail » en une région dénommée les « Alpes Mancelles » ; très exactement entre Saint-Léonard-des-Bois et Gesvres, des affleurements de SCHISTES ARGILEUX, très micacés, vraisemblablement au contact du GRANIT. De précieux témoins des fossiles : « CALYMENE TRISTANI ».
CLIMACOGRAPHUS SCALARIA a été défini par HALL en 1865.
embranchement : Invertébrés
classe : Graptolitres
ordre : Graptolides
famille : Diplographiae
GRAPTOLITES - MONNOGRAPTUS.
embranchement : Métazoaires
classe : Gaptolitres
ordre : Graptolithines
familles : Monographidae
ARCHAEOCRINUS DESIDERATUS 6billings - 1885 - Ordovicien m.jp
embranchement : Echinodermes
classe : Crinoïdes
ordre : Isocrinides
familles : Asaphidae
CALYMENE TRISTANI a été défini par BRONGNIART en 1822.
embranchement : Arthropodes
classe : Trilobites
Ordre : Phacopides
familles : Calyménidés
Dans les CALCAIRES et les SCHISTES du Sud-ouest du département de la Sarthe, dans un talus où affleure des schistes du DEVONIEN. Dans le « Creux » entre « La Lune de Joué » et « Saint Denis-d’Orques », des fossiles du SILURIEN INFERIEUR ( -440 à -420 M.a. témoignent . Les bassins de schistes avec ANTHRACITES de AUVERS-le-HAMON,de BRULON et de VIRE se prolongent vers POILLE, et présente quelques affleurements.
COROCRINUS INSTAGRAM défini par LINK en 1939.
embranchement : Echinodermes
classe : Crio£ides
ordre : Isocrinidae
Famille : Encrinidae
PHYCODES ROUVEILLEI défini par SAPORTA - vestige d’une plante présentant une structure faite de tigelles groupés en faisceaux .
CYCLOPTERIS de ODONTOPTERIS BRADIT a été défini par BRONGNIART en 1822.
embranchement : Végétal
classe : Pteridospermatophyte
ordre : Medulosalle
famille : Cyclopteris
CYRTOSPIRIFER VERNEUILLI a été défini MURCHINSON en 1840 .
embranchement : Brchiopodes
classe : Articulés
ordre : Télotrémates
familles : Cyrtospiriféridae
XYSTOSTROPHIA UMBRACULUM a été SCHLOTHEIM EN 1820.
embranchement : Brachiopodes
classe : Articulés
ordre : Protrémates
familles : Xystostropidae
ORTHOCERAS LORIERI a été définie pard’ORBIGNY en 1843.
embranchement : Mollusques
classe : Céphalopodes
ordre : Nautiloides
famille : Orthoceratidae
ORTHOCERAS ELLESMOCERAS LORIERI ESTIVALI a été définie pard’ORBIGNY en 1843.
embranchement : Mollusques
classe : Céphalopodes
ordre : Nautiloides
famille : Orthoceratidae
Les SCHISTES FERRUGINEUX, se développent au Nord du Massif Silléen, accompagnés de SCHISTES MICASES. Ce véritable minerai de fer affleurant au Nord des Coëvrons, entre la lieu-dit le « Chapeau » en Montreuil-le-Chétif et celui du « Rocher », dévoile des excavations où il y a longtemps du fer a été extrait.
Ce minerai apparaît souvent à la bas de SCHISTES à TRILOBITES - CALYMENES, au contact du GRES ARMORICAIN;
À Fyé, des trilobites ont été trouvés.
MICASCHISTE.
Les CALCAIRES avec concrétions siliceuses comme à JUIGNE, est extrait pierre à chaux grasses, pour les agriculteurs. Lles fossiles sont assez nombreux dans certains bancs. Un affaissement du plancher de base s’étant produit à l’Ouest de notre département, des dépôts argileux et calcaires à Pecten, on peut citer vers BRULON - CHASSILLLE - PRECIGNE, des bancs de nids à POUDINGUES ave BARYRTINE et GALENE.
Prés de BRÛLON, le DEVONIEN inférieur est très fossilifère dans ses différents affleurements de SCHISTES et de CALCAIRES, et repose sur du SILRIEN SUPERIEUR, et couvre 3.200 hectares. Le pli formé Sud-ouest - Nord-est de très CARBONIFERE / ANTRAXIFERE.
En général dans la Sarthe les SCHISTES succèdent aux GRES, et sont coincés entre ceux-ci et la masse CALCAIRE. Ce calcaire joue un rôle important c’est lui qui supporte les bancs d’ ANTHRACITE, couvrant 2.800 hectares.
CONGLOMERAT - dénommé POUDINGUE - ROCHE SEDIMENTAIRE formée par la lithiasique grains de graviers ou de galets arrondis.
GNEISS à BILOBITES.
La région de BRÛLON et de VIRE, ont fourni une grande quantité de fossiles, mais également d’espèces et de familles différentes recensées : POISSONS ( 2 ) - TRILOBITES ( 9 ) - OSTRACODES ( 1 ) - CEPHALOPODES ( 5 ) - GASTROPODES ( 25 ) - LAMELLIBRANCHES ( 7 ) -
BRACHIOPODES ( 58 ) - BRYOZOAIRES ( 3 ) - CRINOÏDES ( 7 ) - ZOOPHYTES ( 18 ).
Le CAlCAIRE DEVONIEN, joue un rôle important dans le grand Sud-ouest du département de la Sarthe
LEPIDOLITE - n. m. - du grec lepis - idos signifiant écaille ; et lithos précisant pierre - variante du mica lithinifère des pegmatites .
TERTRE RECIFAL - biolithite microbenne - La BIOLITHITE est une CALCAIRE construuit par des ORGANISMES.
Dans cette région de la Sarthe, jouxtant la GRANDE CHARNIE, les COËVRONS, et le Sud du MASSIF SILLEN, à cheval sur deux départements, une zone étendues SCHISTES, succédent aux GRES, mais en certains endroit, le CALCAIRE REPOSE DIRECTEMENT SUR LES GRES ; c’est ainsi que l’on y découvre un certains nombre de CRINOIDES, et de très nombreux fossiles.
CALCAIRE riche en CRINOIDES .
CALCAIRE, fortement dosé en CARBONATE de CALCIUM : excellent indicateur de la présence de COQUILLES.
.
SCYPHOCRINITES ELEGANS a été défini par ZENKER en 1833.
embranchement : Echinodermes
Classe : Crinoides
Ordre : Isocrinides
PELLICRINUSINTERMEDIUS a été défini par HALL en 1858
embranchement : Echinodermes
Classe : Crinoides
Ordre : Isocrinides
Le CARBONIFERE soit 65 M.a., est marqué par la surrection progressive du Massif Hercynien / Armoricain, et couvre 2.800 hectares, dans la Sud-ouest du département de la Sarthe. Elle se concrétise dans de nombreuses modifications des terrains de la région de Sablé, tant sur la faune que sur la flore.
ANNULARIA RADIATA défini par BRONGNIART - Sténophytes.
PECOPTERIS POLYMORPHAdéfini par BRONGNIART - Filicophytes.
PECOPTERIS POLYMORPHA a été défini par BRONGNIART -
embranchement : Cryptogames
classe : Phylicophytes
ordre : Mariattialls
famille : Ptecopteridacées
ASTEROPHYLITTES défini par SCHLOEMME en 1820 - embranchement : Cryptogames.
classe : Stenophytes
ordre : Equiisetales
famille : Calamitacae
ANNULARIA STELLATA - SCHOTEN - 1804 - 10 à 20 feuilles verticilles, spatulées et longues de 3 à 12 mm. -
embranchement : Cryptogames
classe : Stenophytes
ordre : Equisetales
famille : Calmitacae
NEUROPTERIS TENUIFOLIA a été défini par SCHLOTHEIM - Pinnules arquées et acuminées au sommet assez variables
embranchement : Cryptogames.
classe : Pteridospermaphytes
ordre : Permaphytes
famille : Neuropteriace
CALAMITEa été défini par BRONGNIART .
embranchement : Cryptogames
classe : Stenophytes
ordre : Equisetales
famille : Calmitacae
Le refroidissement provoque la formation de glace, les faunes marines s’appauvrissent, tandis que terrestres connaissent une expansion.
ANTHICHNIUM SALAMANDROIDES -
Empreinte des doigts griffus d’une patte avant.
BRANCHIOSAURUS FAYOLI - a été défini par THEVENIN en 1906.
embranchement : Protriton
classe : Amphibiens
ordre : Temnospondyli
famille : Branchiosauridae
BRANCHIOSAURUS PETROLEI - a été défini par GAUDRY en1875.
embranchement : Chorata
classe : Amphiobiens
ordre : Temnospondyli
famille : Branchiosauridae
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